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JUSTICE UNEF, Union Nationale des Etudiants de France, jeunes, engagement, militantisme, étudiant, dijon, AGE, 80 ème congrès

2 avril 2008

http://cebourgogne.canalblog.com/

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4 décembre 2007

Cé parti !

             COMMUNIQUE DE PRESSEJUSTICE

Objet : démission des membres du courant JUSTICE-UNEF du syndicat étudiant UNEF et création de la Confédération étudiante à l’Université de Bourgogne.

Jean-Baptiste HERMANN, fondateur et coordinateur du Club JUSTICE,

1er représentant de la tendance à Dijon,

Ancien élu UNEF,

Membre depuis 2002.

Vincent BEGRAND, vice-président de l’UNEF-aged,

Membre de la Commission nationale administrative de l’UNEF,

Elu au Conseil UFR Lettres-Philosophie,

Elu sup. au CROUS Bourgogne,

Membre depuis 2003.

Et les membres du Courant JUSTICE de l’UNEF Dijon élus et militants démissionnent du syndicat étudiant et de leur mandat suite aux derniers évènements liés à la Loi de réforme des universités.

En effet, l’une de nos valeurs fondamentales est la Démocratie et triste est de constater que celle-ci a bien souffert ces derniers jours avec une nouvelle fois des étudiants minoritaires qui décrètent la fermeture d’un bâtiment de l’Université.

Nous ne reconnaissons pas la légitimité des « Assemblées Générales » étudiantes qui ridiculisent le débat étudiant sur l’avenir de l’Université pourtant plus que nécessaire. La participation à ces AG n’assure en rien la démocratie et il faudrait être bien naïf pour considérer un tract comme une convocation, ou alors bien prétentieux.

Nous dénonçons le sectarisme et l’arrogance de certains et la caution qu’a prêtée l’UNEF aux agitateurs alors même que ce syndicat avait participé à la mise en place de la réforme.

Nous sommes pour le respect de tous.

Nous sommes pour un syndicalisme de propositions qui permette enfin de nouvelles avancées pour les étudiants.

D’autres voix doivent se faire entendre.

C’est en ce sens que nous créons la Confédération étudiante à Dijon.

Contact presse :

ce.bourgogne@hotmail.fr

19 novembre 2007

OSONS LA DEMOCRATIE !

L'une des valeurs fondamentales du Club JUSTICE est la Démocratie.

Nous n'acceptons pas que quelques uns jouent le jeu du gouvernement en faisant passer la Jeunesse comme irresponsable voire agitatrice. Nous dénonçons les réunions dites "Assemblée Générales étudiantes"  conduites par quelques groupes minoritaires, agitateurs permanents, plus proche des conservateurs que des progressistes par leur attitude arrogante et sectaire. Nous ne reconnaissons pas la légitimité des AG. Il faut être bien naif pour croire qu'un tract peut tenir lieu de convocation, ou bien prétencieux.

Les dérives ne cessent dans chaque réunion. A Dijon, la dernière AG fut un grand folklore mais hélas aussi bien triste pour les étudiants  qui croyaient pouvoir  participer de façon citoyenne aux évènements liés à la LRU et à  l'avenir de leur Université. Cette mascarade donnait une majorité aux  non-bloqueurs. Or dans ce genre de réunion, il suffit seulement de gueuler le plus fort pour avoir raison...


NON A L'ARBITRAIRE DES AG ETUDIANTES, VERITABLE MASCARADE DES "ORGANISATEURS BLOQUEURS"
(notons que le cru 2007 manque de retour par rapport à celui de 2006)

NON AU BLOQUAGE !

OUI AU DEBAT DE FOND !

19 novembre 2007

Loi relative aux libertés et responsabilités des universités

Point de vue LRU (

Loi relative aux libertés et responsabilités des universités

) par Vincent BEGRAND

Une présidentialisation accrue des Universités (ou un nouveau mode de présidentialisation)

Le président de l’université n’est désormais plus seulement élu que par le CA (Conseil d’Administration). Auparavant il était élu par le CEVU (Conseil des Etudes de la Vie Etudiante) et le CS (Conseil Scientifique). Le CA composé de 30 à 60 membres sera réduit jusqu’ à ne plus être composé que de 20 à 30 membres parmi lesquels 7 ou 8 membres extérieurs, dont au moins un chef d’entreprise ou un cadre dirigeant, nommés par le président. Le CEVU et le CS deviennent des organismes essentiellement consultatives et sa majorité est acquise au président.

Le CA devient dès lors la seule instance décisionnaire de l’université. Avec cette nouvelle organisation des conseils, le débat se resserre et les pouvoirs se concentrent entre les mains du président. De ce fait, c’est la démocratie qui se retrouve affaiblie    

L’éternelle question du budget

Le CA se voit attribuer de nouvelles compétences :

- en matière d’attribution de primes aux personnels et de créations de « dispositifs d’intéressement pour améliorer la rémunération des agents les plus méritants ».

- de possibilité de recruter des contractuels (CDD) en catégorie A et maîtres de conférences.

La loi permet également la création de fondations. Il s’agit d’ « instances tampons » entre les universités et les entreprises. Une fondation est créé par un particulier ou une entreprise et permet de faire un don pour une mission particulière (ex : labo ou filière). La loi encourage ainsi la mise à disposition du secteur public de l’éducation à des fins privées.

La loi autorise l’Etat à transférer aux établissements, qui en font la demande, la pleine propriété des biens mobiliers et immobiliers.

Cela témoigne de la méthode de décentralisation du gouvernement, qui consiste à décentraliser les compétences sans jamais décentraliser les moyens.

15 novembre 2007

ça débloque...


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2 février 2007

80ème Congrès de l'unef - AGE de Dijon

Prêt pour le changement !

Changer l’UNEF pour vraiment changer d’avenir

Texte présenté par la sensibilité JUSTICE de la Tendance Refondation Syndicale

Jeunesse Unie pour un Syndicalisme de Transformation vers un Idéal et une Conscience Européenne


I-                    Changer notre enseignement supérieur

·         Pour une Justice entre étudiants

L’un de nos premiers combats est la fusion entre l’Université et les grandes écoles. La césure entre ces deux institutions n’est pas acceptable car profondément injuste. D’un côté nous avons des Universités sous dotées, discréditées et montrées du doigt pour leurs difficultés à former, puis à aider à accéder au marché de l’emploi. De l’autre, un système élitiste, oscillant entre écoles publiques et privées, fixant des frais d’inscription prohibitifs et mettant en œuvre une sélection draconienne. Pour répondre à un système d’enseignement supérieur structurellement inégalitaire, la réponse est l’unification. En effet, d’un côté existe un système sur le modèle républicain, étouffé par le manque de budgets, accessible au plus grand nombre, incapable, de fait, de réussir la démocratisation. De l'autre, la noblesse d’Etat se reproduit, sans peur du lendemain. L’isolement des grandes écoles, par une sélection sociale très forte à son entrée, ne peut être combattue qu’en réorganisant sa structure et en redéfinissant les règles d’accès et les frais d’inscriptions, afin de lutter contre la ségrégation sociale. Bien rares sont ceux qui issus des classes défavorisées arrivent à accéder à cette soi-disant élite.

·         Pour un Etat responsable

Aujourd'hui, il est couramment reconnu que l’enseignement supérieur français est sous financé par rapport à celui des autres pays développés. La raison ? Le désengagement de l’Etat. La Conférence des Présidents d’Université (CPU), elle-même a souligné la nécessité d’augmenter la ressource par étudiant. Le réengagement financier de l’Etat reste indispensable. Une partie de cet effort financier ne pourra pas se faire sans un réengagement pérein de l’Etat dans le financement de l’enseignement supérieur et de la recherche. Les financements de fonctionnement versés par le Ministère de l’Education Nationale doivent par ailleurs contribuer à rétablir une égalité entre les Universités. Il nous semble indispensable d’augmenter significativement le niveau moyen de la dotation par étudiant et donc le budget global de l’enseignement supérieur et de la recherche.

II-                  Changer nos conditions formation

·         Pour une émancipation des Jeunes

L’autonomie, ce n’est ni l’indépendance ni l’obéissance : c’est l’émancipation. Il ne suffit donc pas de donner un pécule financier à tous les jeunes comme le préconise la majorité nationale (TMN) et locale (TTE, maintenant TUUD) mais bien de mettre en place un contrat d’autonomie juste, donc individualisé, c’est-à-dire, selon la situation sociale réelle de l’étudiant suivant qu’il perçoive une aide des parents ou un salaire propre. De cette manière le droit à l’éducation devient le fondement même d’une nouvelle allocation. Notre but premier pour ce projet ne doit donc pas être de couvrir les risques liés au fait d’être jeune mais bien de répondre à une des aspirations de l’ensemble de la société qu’est le droit à se former à tout moment de sa vie. C’est « l’allocation d’étude » contre « l’allocation d’autonomie ».

·         Pour un avenir partagé : l'accès au savoir tout au long de sa vie

La formation et l'éducation continue sont un progrès social parce que nous ne pouvons plus accepter que tout se joue uniquement dans les premières années de la vie. Il faut pouvoir tout au long de sa vie approfondir et actualiser ses connaissances, principale condition de l’émancipation de chacun. La formation et l'éducation tout au long de la vie doivent être reconnues comme un droit de la personne et correspondre à un service public de l'enseignement supérieur.

·         Pour une reconnaissance des étudiants salariés

Nous militons depuis notre création pour une véritable Justice et le respect de tous les étudiants. La condition de l’émancipation des jeunes passe par la reconnaissance des étudiants salariés. En ce sens nous réclamons un statut de l’étudiant salarié. L’UNEF doit revendiquer des droits spécifiques à l’Université et dans l’entreprise.

III-                Changer notre syndicalisme

·         Pour un syndicalisme européen

Notre sensibilité JUSTICE milite pour une conscience européenne permettant une lutte pour le progrès internationaliste. En ce sens, nous devons créer un syndicat étudiant européen, principal interlocuteur d’une Europe de l’Education. En effet, pour défendre un véritable service public de l’enseignement supérieur européen, il s’avère urgent d’initier un rassemblement de syndicats étudiants européens. Nous devons être capables de porter un discours fort en convictions, capable à la fois de créer un partenaire privilégié de l’Union et  de porter un vrai projet.

·         Pour un syndicalisme démocratique

Nous voulons refonder l’UNEF, c’est-à-dire, rénover notre organisation pour en faire un cadre d’engagement quittant le centralisme,  le conservatisme contestataire et les incantations mouvementistes au profit d’un véritable syndicalisme de militants. Nous militons pour un syndicalisme de proposition. Nous proposons pour protéger concrètement les étudiants. C’est en prolongeant la contestation par la proposition que l’on évite d’être à la remorque, confiné à la défensive. Le syndicalisme de proposition a une autre vision de l’étudiant. Nous pensons que le milieu étudiant est à l’image du corps social. C’est en ce sens qu’il est erroné de considérer la jeunesse comme une classe sociale à part entière et donc de vouloir répondre à ses aspirations comme telle.

Au niveau national, il n’existe plus que trois tendances dont une majorité écrasante qui s’assimile désormais à la TUUD aux vues des récentes alliances d’appareil, éloignant toujours un peu plus l’UNEF de la réalité étudiante et de ses idéaux.

Au niveau local, la majorité TUUD (ou TTE) est hégémonique. Osons la démocratie !

Pour un syndicat, assumer son rôle de transformation sociale, c’est maintenir un équilibre entre deux éléments complémentaires : le mouvement social et le dialogue social.

Les 21 et 22 février

Pour un syndicalisme de proposition,

Pour une vision étudiante juste et solidaire,

VOTEZ et faites VOTER TRS

En PDF : Pret pour le changement.pdf

11 janvier 2007

Meilleurs voeux

MEILLEURS VOEUX POUR CETTE NOUVELLE ANNEE

QUE 2007 SOIT SOIT L'ANNEE DU CHANGEMENT,

MOBILISONS-NOUS ET PARTICIPONS AUX PROPOSITIONS

DES FORCES DU PROGRES EN 2007

3 mars 2006

Appel à la mobilisation

Rendez-vous partout en France le 7 mars contre le CPE.

>HORAIRES ET LIEUX DE DEPART DES PRINCIPALES MANIFESTATIONS DU 7 MARS 2006


Amiens : 17h30 maison de la culture
Angers : 14h30 place du maréchal Leclerc
Artois : Action surprise jeudi 2 mars
Avignon : 14h00 place de la gare
Besançon : 14h00 place Battant
Bordeaux : 11h00 place de la République
Brest : 10h30 place de la Liberté
Caen : 14h30 place du théâtre
Clermont : 15h00 place des Carmes
Chambéry : 14h30 à la Sasson
Dijon : 15h00 place de la République
Grenoble : 10h00 gare SNCF
La Rochelle : 11h00 place de l'Aquarium
Le Havre: 10h00 place Franklin
Le Mans : 10h30 place des Jacobins
Lille : 14h30 Porte de Paris
Limoges: 10h00 place d'Aine
Lor ient: 10h00 parc Youri Gagarine (rendez-vous étudiant)
Vannes: 10h00 à la Rabime
Lyon: 14h00 Manufacture des Tabacs
Marseille :10h30 Vieux Port
Metz : 14h30 gare SNCF
Montpellier : 14h30 jardin du Peyrou
Nancy : 14h00 place Stanislas
Nantes: 10h30 place du Commerce
Nice: 14h00 gare SNCF
Orléans: 10h30 parvis de la cathédrale
Pau: 10h30 place Verdun
Paris et Région Parisienne: 14h00 place de la République
Perpignan : 14h00 place de la Catalogne
Reims: 10h30 Maison des Syndicats
Rennes : 11h00 place de la gare
Rouen : 14h30 cours Clémenceau
ST Étienne: 10h00 place de la liberté
Strasbourg: 14h30 place Kleber
Toulon:10h30 place de la Liberté
Toulouse : 14h30 place Arnaud Bernard
Tours: place de la liberté
Valenciennes: 10h30 face à la sous préfecture

3 mars 2006

Vidéo de la Manif du 7 février

6 février 2006

Appel à MANIF

L'ensemble des camarades de la sensibilité JUSTICE lance un appel à la mobolisation contre le CPE le 7 février.

Rendez vous partout en France pour exigé du gouvernement le retrait du Contrat Précarité Exclusion.

LA JEUNESSE POUR UN
DROIT A L'AVENIR

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